Plusieurs étudiants ayant suivi la formation de l’IKW ont accepté de témoigner sur ce qu’elle leur a apporté dans leur vie professionnelle, familiale, sociale, personnelle.
Découvrez leurs témoignages !
Si c’était à refaire, je signerais à nouveau!
Je suis mariée, mère de 5 enfants, et médecin en soins palliatifs.
Pour moi, les fruits de cette formation extraordinaire sont la joie et la liberté intérieure, sans hésiter ! J’ai expérimenté la jubilation de comprendre des vérités jusque-là obscures, la joie de me sentir plus libre pour penser, parler et agir. Et cela change tout ! À l’IKW, nous apprenons énormément sur la personne humaine, nous apprenons aussi à structurer notre pensée, et cela est très utile tous les jours. Les échanges avec les autres étudiants et les professeurs sont aussi un vrai plaisir, une vraie richesse.
À titre d’exemple, l’IKW m’aide beaucoup à penser l’éducation à la vertu de nos enfants, à aborder sereinement avec eux des sujets délicats et à accompagner des fiancés avec mon mari en comprenant mieux leurs difficultés et les enjeux de leurs questions. Elle me permet même de mieux comprendre l’actualité. J’ai également pu commencer à répondre à certaines questions concernant l’accompagnement des personnes en fin de vie.
Et à la fin de ces quatre années, je sais qu’il me reste encore des milliards de choses à comprendre et à explorer !
Mes 4 années de formation à l’IKW sont providentiellement tombées à un moment où il était bon et nécessaire de faire un point sur ma vie. Les connaissances que j’ai acquises sur la personne humaine dans son intégralité m’ont aidée à me libérer de certaines croyances ou mauvaises habitudes prises et ont été source de croissance et de liberté.
J’ai mieux compris le projet d’amour que Dieu a pour tout homme. Dieu a vraiment pris la première place dans ma vie. Au cours de notre formation, l’étude de certaines encycliques, de vies de saints, de périodes de l’histoire de l’Église, des conférences passionnantes m’ont confirmé que l’Évangile est résolument moderne et répond aux questions et aux maux de notre monde actuel. Ces connaissances et les lectures que je continue de faire, m’incitent à prendre la parole quand je juge que c’est opportun.
Par rapport à moi-même, je me connais un peu mieux et j’ai progressé dans mon estime personnelle. Mon mari et mes enfants, ma vieille maman ont bénéficié d’une meilleure écoute, d’une plus grande bienveillance de ma part, et cela est fécond. Je le mesure quotidiennement. Je suis devenue conseillère municipale et je siège dans des conseils d’administration à la CAF ou à l’UDAF, où je défends la voix des familles.
Cette formation est orientée vers l’accompagnement et j’ai fait de très belles rencontres dans le cadre de l’AFCP ou de l’accueil Louis et Zélie. L’accompagnement par la pratique des vertus est pour moi un chemin qui nous entraîne vers le Bien de manière adéquate – car nous sommes des personnes uniques, voulues et aimées par Dieu, douées d’intelligence – et nous permet d’agir librement.
La formation reçue à l’IKW m’a fait découvrir et aimer la splendeur de la vérité. Elle m’est très utile dans mes accompagnements en unité de soins palliatifs. Elle nous challenge toujours sur nos conceptions, parfois étroites ou maladroites, concernant de nombreuses questions. Elle y introduit une respiration qui nous fait revivre. Avec elle, on sort toujours par le haut des débats dans la société et dans l’Église.
Je recommande l’IKW à tous ceux qui veulent aider leur prochain en vérité, tous ceux qui veulent approcher le mystère insondable de la personne créée à l’image de Dieu.
S’appuyant sur Aristote, St Thomas d’Aquin et Jean Paul II, mon apprentissage à l’IKW a été source d’une joie profonde et d’un émerveillement. La qualité des enseignements et du corps professoral sont formidables.
Nous apprenons à regarder et à comprendre la personne humaine dans son intégralité en nous rappelant qu’elle a été créée à l’image de Dieu. Chacun devant retrouver un agir libre.
Dans ma vie, il y a un avant et un après mon passage à l’IKW. Je souhaite à chacun de découvrir ce trésor.
Exerçant le métier de coach professionnel, j’accompagne individuellement des personnes désireuses de reprendre le contrôle de leur situation professionnelle face à divers obstacles (perte de sens, réorientation, usure, prise de poste, difficulté de management…). J’accompagne également des équipes de professionnels du secteur médico-social, de l’enseignement et du paramédical, en conduisant des groupes d’analyse des pratiques professionnelles. Mon intervention a pour but de leur permettre de prendre du recul, d’analyser une situation et d’ajuster leur pratique professionnelle.
Ma formation en coaching m’a certes transmis de nombreuses approches et outils efficaces pour faciliter le changement. Elle m’a également permis d’approfondir un travail sur moi-même en questionnant régulièrement ma posture et ma pratique dans le cadre de supervisions collectives. Cependant, j’ai vite ressenti un manque au niveau des dimensions anthropologique et éthique. Certains de mes collègues insistaient sur l’importance d’approfondir leurs pratiques en se référant à des spiritualités variées, telles que le bouddhisme, l’hindouisme ou le chamanisme… Ces cadres de références leur donnaient une certaine vision de l’homme qui influençait leur manière d’accompagner. Pour ma part, je ressentais le besoin de proposer un accompagnement qui soit en pleine cohérence avec ma foi chrétienne. Je n’étais pas à l’aise avec l’idée répandue « d’aider l’autre à trouver la meilleure version de lui-même » si cela devait aboutir à une sorte d’absolutisation de son expérience subjective. Il m’importait d’aligner la finalité de mes pratiques à mes valeurs et mes aspirations.
L’IKW a alors répondu à mes attentes. J’y ai trouvé une formation universitaire solide d’anthropologie chrétienne et d’aide à l’accompagnement de la personne humaine. Cette formation pluridisciplinaire me permet de développer une vision unifiée et intégrale de la personne comme sujet libre et responsable. Elle encourage la pratique des vertus, par laquelle l’homme trouve dans son agir moral son véritable bonheur, ainsi que le don de soi tourné vers le meilleur bien, celui qui lui correspond et le bien commun.
Aider l’homme à unifier sa personne en s’accueillant dans toutes ses dimensions (affectives, intellectuelles, physiques et spirituelles) dans le don désintéressé de lui-même, fruit d’un bonheur ouvert aux autres, le reliant non seulement à lui-même mais à tous ceux qui l’entourent. Tel est l’enjeu majeur de cette formation que j’accueille comme un double cadeau pour moi-même et pour les personnes que j’accompagne.
La formation universitaire que dispense l’IKW m’a donné des outils très utiles dans ma mission d’aumônier à l’hôpital. Cela m’a d’abord aidé à me comprendre : qui je suis, comment et pourquoi je réagis dans telle ou telle situation. Cela m’a également éclairé sur le fonctionnement de la personne humaine, ses émotions, ses passions, sa volonté… J’ai appris comment mettre l’intelligence au service du bien, à redéfinir la vraie liberté… Quand j’accompagne des personnes, je peux les aider à redécouvrir ce qu’est la vertu et combien c’est libérateur.
Cette formation m’a apporté une connaissance complète et réaliste pour écouter la personne dans sa globalité, avec une dimension pratique lors des séminaires d’études de cas ou lors des stages d’écoute et d’accompagnement. Elle m’a fait réfléchir à la place à accorder à l’intelligence, à la volonté, à l’affectivité et au corps. Bref, elle m’a donné un très solide bagage pour accompagner des personnes hospitalisées et fragilisées.
Ancien clown professionnel dans les hôpitaux, Jean-Louis Berdat est aujourd’hui aumônier à l’hôpital Pasteur de Colmar (Haut-Rhin). Il confie le cheminement intérieur qu’il a parcouru ces dernières années, en partie guidé par la formation universitaire qu’il a suivie à l’Institut Karol Wojtyla (IKW)…
Un curé, c’est celui qui fait de la cure d’âmes et soigne l’âme, et l’âme n’est pas seulement le côté spirituel : c’est aussi tout ce qui concerne la personne. Un prêtre doit être un spécialiste de la personne humaine et c’est une formation qui peut être utile dans tous les domaines.
Pour une communauté, il est essentiel de passer par là car nos communautés devraient être des lieux où on comprend bien la personne humaine. On devrait tous avoir une formation sur ces sujets, tout ne vient pas par bon sens, intuition ou bonne volonté.
L’enseignement reçu peut être intégré tout de suite dans la formation des novices mais aussi dans nos apostolats de catéchèse et d’aumônerie.